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En exergue :

  • Frank Ramsey, "Truth and Probability" (1926)
    The highest ideal would be always to have a true opinion and be certain of it; but this ideal is more suited to God than to man.
  • Jules Bertaut, "1848 et la Seconde République" (1937)
    L'enthousiasme est pour rien chez nous : aussi les Français, peuple avare par excellence, le répandent-ils avec une générosité qui n'a d''egale que leur versatilité.
  • Turgot, lettre à Du Pont (1773)
    C’est au public lisant et réfléchissant qu’il faut parler, c’est à lui qu’il faut plaire, lui et lui seul qu’il faut persuader ; toutes les flagorneries aux gens en place, tous les petits détours dont en s’enveloppe pour ne pas les choquer sont une perte de temps écartant du vrai but et ne réussissant même pas à faire sur eux l’impression qu’on s’est proposée.

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Commentaires

Laurent GUERBY

L'image ne passe pas, le lien n'est pas bon car il pointe sur un fichier local :

file:///G:\DOCUME~1\BERNAR~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif

Sinon, le point de vue des investisseurs peut être aussi que le système des brevets appliqué au logiciel va favoriser les grandes entreprises qui verront leur concurrence potentielle baisser et donc leur profits monter. Je n'ai pas l'impression que l'article fait la différence small cap / big cap qui est peut-etre plus différentiateur que hardware / software (et les firmes hardware sont peut-etre plus big cap que les sofware).

Le papier est dispo ici :

http://people.bu.edu/mmacgarv/w12195.pdf

Bernard Salanié

Merci, Laurent, l'image est en place maintenant. Est-ce que les brevets, en général, profitent plus aux grandes entreprises ? Plutôt à celles qui en produisent plus qu'elles n'en utilisent. L'article ne s'intéresse qu'aux années proches de la rupture légale de 1994-95 ; dans cette période, HMG montrent bien que c'est ce critère qui a joué. Ce qui s'est passé dans les années plus récentes est une autre question, plus complexe puisque les acteurs n´étaient plus "surpris".

Henri Icard

In fine, que dit cette étude : Que les entreprises qui déposent ces brevets sont favorisées quand la protection apportée par ces brevets est étendue.

Cela paraît quand même assez intuitif.

Mais le débat qui agite partisans et opposants aux brevets sur les logiciels porte sur l’intérêt global de tous les acteurs : Ce qui découvrent, ce qui utilisent, et ceux qui utilisent pour découvrir.

Par certain coté, cette étude apporte plutôt un élément contre l’extension des droits des brevets. 5% de valorisation supplémentaire, c’est bien peu.

ontheotherside

Sur le meme sujet, mais en abordant le point de vue des start-ups, un article interessant de Paul Graham: http://www.paulgraham.com/softwarepatents.html

Mulot

Qu'est-ce qu'un "brevet logiciel" ? Michel Rocard[*] a, à plusieurs reprises, souligné à quel point il semblait difficile, d'un côté ou de l'autre de l'atlantique, de parvenir à une définition consensuelle de ce terme.

[*] Je choisis cet exemple parmi tant d'autres en le considérant comme étant une personnalité réputée consensuelle, prudente et constructive. Trouver d'autres exemples ne serait pas bien difficile.

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