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  • Frank Ramsey, "Truth and Probability" (1926)
    The highest ideal would be always to have a true opinion and be certain of it; but this ideal is more suited to God than to man.
  • Jules Bertaut, "1848 et la Seconde République" (1937)
    L'enthousiasme est pour rien chez nous : aussi les Français, peuple avare par excellence, le répandent-ils avec une générosité qui n'a d''egale que leur versatilité.
  • Turgot, lettre à Du Pont (1773)
    C’est au public lisant et réfléchissant qu’il faut parler, c’est à lui qu’il faut plaire, lui et lui seul qu’il faut persuader ; toutes les flagorneries aux gens en place, tous les petits détours dont en s’enveloppe pour ne pas les choquer sont une perte de temps écartant du vrai but et ne réussissant même pas à faire sur eux l’impression qu’on s’est proposée.

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Commentaires

Daniel

Wikipedia a sans doute besoin de se structurer encore mais l'aspect collaboratif du projet devrait l'emporter à mon avis sur les problèmes de polémiques touchant à des sujets précis.
Le projet est encore jeune et doit faire face à son succes. Personnellement je suis au contraire très favorable à un projet tel que Wikipedia qui me semble bien plus démocratique pour stocker le savoir que le passage quasi systematique par du search privé tel que Google

Daniel

J'ajouterai que l'effort de controle devrait à mon sens venir entre autres choses d'un soutien public dans un projet tel que celui là.

Yeti

Rien n'empeche d'attaquer Wikipedia pour diffamation, injure ou autres si un jour votre nom s'y retrouve avec des qualificatifs qui ne vous conviennent pas. J'ai d'ailleurs lu une interview d'un des responsables de Wikipedia disant que ce risque est leur plus gros problème.

Flaff

Wikipedia ne nuit à personne, et la quantité de reproches qui tombent sur ce qui reste une oeuvre bénévole à la moindre faute incite à mon avis à ne surtout pas se donner quelque ambition que ce soit. Quand au pourcentage de conneries, il reste, apparemment du moins, très inférieur à celui des revues scientifiques, avec ou sans comité de lecture.

Urchin

Je crois que vous venez de donner la réponse vous-même... Pour évaluer la pertinence d'un article de wikipedia, il suffit de connaître le nombre de consultations.

Bernard Salanie

C'est amusant, il suffit de poster qqch sur l'open source pour recevoir une avalanche de commentaires... dont la plupart tiennent plutot de la profession de foi. Peut-on traiter de ce genre de sujets sur la base d'arguments raisonnables ?

* Yeti : si vous lisez l'article originel d'USA Today,

http://www.usatoday.com/news/opinion/editorials/2005-11-29-wikipedia-edit_x.htm

vous verrez que le pauvre M. Seigenthaler n'a pas beaucoup d'options judiciaires. Les auteurs d'articles sur Wikipedia sont anonymes.
* Flaff : "Wikipedia ne nuit à personne"... sauf a M. Seigenthaler ? Quid si je poste une bio de vous expliquant que vous etes un maniaque sexuel condamne plusieurs fois ?
* Urchin : "Pour évaluer la pertinence d'un article de Wikipedia, il suffit de connaître le nombre de consultations". Ah ? Ce ne sont pas les sites X qui sont les plus populaires sur le Web ?

W

C'est vrai. Dans le meme temps je trouve que les articles de Wikipedia sont souvent de bonne qualité. Mais en termes de droit des personnes c'est quand meme assez effrayant.

N'est-ce pas une erreur de jeunesse qui peut etre corrigée en renforcant le "staff" de Wikipedia (ie trouver des revenus modestes qui payeront qqus reviseurs semi-benevoles) ?

L'article sur celui qui a mis un "contrat" sur Kennedy a été refait : le nom du vrai coupable figure désormais en bas d'article : http://zh.wikipedia.org/wiki/%E5%A5%91%E7%BA%A6%E7%BB%8F%E6%B5%8E%E5%AD%A6

François

Ce genre de dérapage est inévitable, mais il est focalisé sur les sujets "sensibles" et susceptibles d'être sujets à distortion. Le révisionnisme historique est le meilleur exemple : l'assassinat de JFK concerne bcp de gens dont la capacité d'analyse est variable. Essayez de mentir, en revanche, sur les pages Wikipedia des équations de Maxwell ou sur d'autres sujets scientifiques ! Le public est souvent qualifié, parfois expert.

Conclusion : il y a toute une partie de l'information Wikipedia qui est fiable. Pour ma part, je ne me risque que sur celle-là (ex. : propriétés du paracetamol). Sur les pages genre "guerre en Irak", "assassinat JFK" etc. je vise plutôt les encyclopédies à reviewers.

Yeti

Je me référais plutot à wikipedia.fr, dépendant de la loi française (car hébergé en France), qui serait responsable légalement et civilement en cas d'abus de ce genre.

jmchauvet

Il existe des sites ouverts pour lesquels le "peer-review" fonctionne : voir, par exemple, kuro5hin et slashdot. Le filtre collectif sélectionne, au final, les éléments qui seront publiés.

Xavier

Pas certain que k5 ou Slashdot fonctionnent si bien. Leur systèmes de modération repose sur une forme de démocratisation du processus de revue. En deux mots, tout le monde peut écrire ce qu'il veut, il n'y a aucune censure. Les utilisateurs du site reçoivent régulièrement (par un processus un peu opaque) des "points de vote" qui leurs permettent d'augmenter ou réduire la visibilité d'une contribution ou d'une autre.

De même que Wikipedia, ça marche assez bien sur les sujets techniques. Dès qu'on évoque des sujets controversés (politique, religion, nationalités...) les gens ne votent en fonction de leurs idéologies et on assiste à des batailles rangées de modérations positives ou négatives. C'est la même chose sur Wikipedia avec les "edit wars". Au moment de la campagne US par exemple, les entries relatives à W et à Kerry étaient réécrites plusieurs fois par heure par des partisans des 2 camps.

Je pense que le problème va bien au-delà des risques de diffamations. J'ai retrouvé un vieil op-ed du NYT, intitulé "The Interactive Truth", qui traite du sujet http://select.nytimes.com/gst/abstract.html?res=F50A1FFE3D5F0C768DDDAF0894DD404482 (désolé pour ceux qui ne sont pas abonnés à TimeSelect). La phrase-clé est pour moi "What if we all vote on the truth?" Est ce que la vérité existe indépendemment et doit être découverte ou prend elle corps dès qu'un nombre suffisant de personnes y croient?

Internet autorise l'émergence de sources de connaissances interactives et distribuées, les blogs et wikipedia, qui s'opposent au modèle top-down et autoritariste des media et encyclopédies traditionnels. Il n'est pas évident de savoir si cela va ou non dans le sens de l'amélioration de la circulation des informations. Certes cela démocratise la publication d'informations, mais cela augmente aussi considérablement le bruit. Oui, la vérité a plus de chances d'apparaître quelque part mais toutes les autres opinions et toutes les contre-vérités présentées comme des faits apparaîtront aussi. Celui qui a raison, c'est celui qui contrôle le plus de blogs ou qui a payé le plus de mots-clés à Google ou Overture.

Il y a aussi "l'astroturfing", pratique qui consiste en la création de multiples identités sur le web pour donner l'impression qu'une multitude de personnes réelles sont d'une opinion donnée. C'est massivement utilisé pour polluer les customers reviews. Je suis un vendeur indélicat sur eBay, je m'écris 15 reviews dithyrambiques de la part de 15 userIDs différentes et le tour est joué. Tout le monde pensera que je suis un vendeur honnete et qu'on peut faire du business avec moi en toute confiance. Bien sur, ça marche dans les 2 sens; je peux torpiller la réputation online d'un concurrent en lui balançant 4 ou 5 reviews négatives inventées de toute pièce.

En conclusion, et pour en revenir à Wikipedia, je pense que leur erreur est de ne pas coller complètement au modèle open source : contributions ouvertes, décisions fermées. Aucun projet open source d'envergure n'a connu le succès sans un "benevolent tyrant" (Linux) ou un comité de décision très restreint (Apache).

bliblo

Oui, c'est amusant que tant de commentaires apparaissent dès qu'il s'agit d'Open Source.

De fait, le problème se pose aussi pour les logiciels libres. Une 'exploit' à distances avait été introduite dans Linux, mais avait été repérée immédiatement il y a quelques mois.

Peut-on améliorer la qualité de l'information sur Wikipedia ? Comment ? Comme on le fait remarquer, même des revues scientifiques laissent passer des boulettes (cf les Bogdanov).

Il est intéressant de réfléchir à des solutions basées sur des notations et la 'réputation'. Pourquoi ne pas noter les contributeurs ? Les contributions seraient notées selon leur pertinence. Des contributeurs, dits 'à bonne réputation', càd ayant reçu beaucoup de votes positifs, seraient en mesure de participer à la notation des articles. Ces notes seraient à leur tour évaluées, et des notations inadéquates seraient sanctionnées par une baisse de la 'réputation' (réputation qui prendrait la forme d'un score). Les métamodérateurs seraient des contributeurs à bonne réputation. Le nombre de vote serait limité (5 par semaine, par exemple).

Ce système serait proche de celui de la métamodération sur Slashdot, et serait surtout semblable à celui qui prévaut dans le domaine de la recherche : ceux qui ont une bonne réputation voient leur avis pris en compte avec force, les autres non. Pour les blogs, c'est encore un peu la même chose : si je lis quelque chose sur le blog de B. Salanie, je considère que c'est a priori pertinent. (Moi, flagorneur ?). Les commentaires, je les prends avec des pincettes...

olivier

En même temps, NYT est juge et parti dans ce genre d'article. Il faut toujours avoir à l'idée que c'est le prototype de l'information hiérarchique , et que ca signifie quelque chose lorsqu'il comment un système peer-to-peer comme wikipedia.

Flaff

Bernard Salanie: Vous savez, à partir du moment où votre nom est un tant soit peu connu, vous trouverez toujours une page sur internet pour dire du mal de vous : par exemple : en 10 secondes dans Google :

http://www.google.fr/search?hl=fr&q=Chirac+voleur

Par ailleurs, les individus qui furent trainés dans la boue parfois à tort par la presse la plus respectée qui soit n'ont que fort rarement l'occasion de se plaindre, étant donné les délais très courts de prescription des délits de presse (les accusés d'Outreau ou certains élus locaux de la région toulousaine doivent en conserver quelques souvenirs assez précis).

Il me semble clair que, d'une manière générale, la liberté d'expression, si importante dit-on de l'autre côté de l'atlantique, implique, pour tout homme public, d'accepter le risque de voir son nom traîné dans la boue. Au fait, pourquoi toutes les interventions de la police américaine sur la voie publique sont-elles systméatiquement filmées par les caméras de leurs véhicules ?

Ce que je ne comprends pas, c'est cette focalisation particulière sur Wikipedia alors même que la nature du reproche pourrait s'étendre au Web dans son ensemble, ou au principe même de la liberté d'expression, fort limitée en France je l'admets.

Bernard Salanie

Flaff : Wikipedia se veut une encyclopédie, il est normal qu'on soit plus critique à son égard que sur Détective ou Ici-Paris.

J'ai cru un moment que j'allais me trouver dans les liens à "Chirac voleur" ! Ne me faites plus ce genre d'inquiétude...

NYT est sûrement heureux que Wikipedia ("more hits than the NYT Web site!") ait des ennuis ; mais l'histoire a été sortie par USA Today.

Flaff

Bernard Salanié: C'est effectivement à un peu de modestie en la matière que j'appellais dans ma première contribution :-). D'ailleurs, si je me souviens bien, il n'y a pas si longtemps, ça se présentait encore comme un "projet d'encyclopédie en ligne", ce qui était nettement plus juste. Je me demande encore quelle mouche a piqué qui de pousser ce projet amateur, même de grande taille, sous les feux des projecteurs avec la prétention de faire face à d'ailleurs on ne sait trop quoi. Il avait d'ailleurs été envisagé, à une époque, de dissocier les articles très peu lus (et donc, susceptibles d'être plein de conneries) des autres. On verra ce qu'il adviendra avec le temps.

letudiant

Une visite du Bistro de Wikipedia fr (http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Le_Bistro) permet de se rendre compte que le débat sur ce genre de choses est récurrent.

D'une part, Wikipedia est largement victime de son succès. La plupart des contributeurs sont conscients des limites de l'outil, et s'inquiètent chaque fois que tel ou tel média cite Wikipedia comme une source fiable, ce qu'elle n'est pas. Il a été récemment proposé de mettre à chaque article un large bandeau indiquant que les informations de Wikipedia étaient sujettes a caution. La proposition est restée en l'état, rejetée sur l'idée que les utilisateurs avaient à leur disposition les informations leur permettant de faire cette déduction.

Enfin, il me semble que le succès de Wikipedia peut alerter l'économiste sur un problème d'offre : comment se fait-il qu'une encyclopédie si souvent incomplète ou sujette à caution ait un tel succès quand elle arrive sur un marché où existent déjà des encyclopédies commerciales ? Le fait est que, pour prendre deux exemple, Encarta (Microsoft) est souvent décevante, et semée d'erreurs qui la rendent souvent inférieure à Wikipedia sur le simple contenu. De l'autre côté du spectre, l'Universalis est la plupart du temps peu accessible, et n'échappe pas non plus à la partialité (voir par exemple l'article sur le cinéaste I. Bergman) : pourquoi le marché échoue-t-il ainsi à proposer une encyclopédie dont le contenu et la fiabilité justifieraient le prix d'acquisition ?

Flaff

letudiant: Bernard Salanie, remarque, à fort juste titre, que la valeur d'une prétendue encyclopédie libre est parfois surévaluée. Admettre cette critique n'interdit pas de penser en son for intérîeur que la qualité des produits professionnels comparables est tout aussi surévaluée. D'ailleurs, s'il n'y avait aucun intérêt à tenter de faire surévaluer par autrui la qualité objective d'une offre, à quoi servirait ce métier qu'on nomme communication ?

Je pense donc que Wikipedia aurait moins d'emmerdes si les activistes de tout poil ne cessaient de postuler X, Y et Z à son sujet à seule fin d'étayer leurs thèses tout aussi fumeuses les unes que les autres. Pour vivre heureux, vivons cachés.

econoclaste-alexandre

Letudiant : le marché propose des encyclopédies dont le contenu et la fiabilité justifient le prix d'acquisition... puisque les encyclopédies commerciales sont achetées. Pas par tout le monde, mais on peut en dire autant de tous les produits vendus, qui ne sont achetés que par les gens qui trouvent que le contenu justifie le prix payé.

Ce qui est vrai, c'est que les encyclopédies sont soit chères soit mauvaises. C'est assez compréhensible par un économiste, qui constate que dans ce domaine s'applique une des théories les plus anciennes de sa discipline : celle de la rente ricardienne. La production d'encyclopédies repose sur un facteur très rare et non reproductible : des auteurs suffisamment experts dans leur domaine et sachant écrire suffisamment bien pour rédiger un article de qualité presque irréprochable.
Autre caractéristique, qui découle en partie de celle-ci : la production d'encyclopédie se fait à coût fixe très élevé, mais coût marginal (coût de production d'un exemplaire supplémentaire) très faible, ce qui implique une concurrence réduite.
Du côté de la demande, celle-ci provient en partie d'établissements institutionnels qui doivent disposer d'encyclopédies; cela implique une élasticité-prix de la demande faible; et la volonté permanente de la part des producteurs d'essayer de segmenter le marché entre acheteurs institutionnels à faible élasticité-prix et acheteurs particuliers à forte élasticité.

Toutes ces caractéristiques font que le marché de l'encyclopédie ne fonctionnera pas tout à fait comme celui de la crevette à la criée de Concarneau. On devrait y trouver des rentes et des prix élevés. Pas étonnant que ce marché intéresse Microsoft.

Wikipedia compense ces contraintes sur la production en ne comptant pas sur un auteur pour un article, mais en faisant de ses lecteurs des auteurs chargés de corriger et d'améliorer en permanence le contenu; cela apporte des avantages mais aussi des inconvénients.

Flaff

après passage de Nashville au kärcher et interrogatoire au Tazer, le raver de banlieue a avoué :

http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2002677060_wiki11.html

phnk

Un survey de Nature indique que le taux d'erreur sur les pages scientifiques est équivalent à celui de la Britannica :

http://declanbutler.info/blog/?p=13

Il suffit de se tenir à l'écart des pages qui ameutent les esprits malveillants.

Flaff

L'article en question sur le site de "Nature"

http://www.nature.com/news/2005/051212/full/438900a.html

Les amateurs vous saluent bien.

Un anti-économiste convaincu de la médiocrité profonde de ce site conformiste, réactionnaire et

Les articles sur Wikipédia sont très certainement plus intéressants que tes notes à deux balles faussement provocatrices, qui ne font que ressasser un fond commun de banalités qu'on peut entendre au bistro du coin. Le jour où on pourra se passer de l'avis de faux experts dans ton genre, et écrire tranquillement nos articles sur des serveurs libres, sans être conspués par des pseudo-scientifiques qui se croient investis d'une autorité sacrée, ce sera un grand progrès pour le savoir humain.

Bernard Salanié

Mmm, je conserve ce dernier commentaire pour le jour où l'adrénaline me manquera... merci, la vache !

Norbert

Bonsoir,

Je crois que nous sommes tous dans l'erreur lorsque nous pensons que Wikipédia est une encyclopédie dont le contenu général serait quelque chose qui pourrait recevoir le nom de connaissance. En effet :
1) il n'y a pas de sélection scientifique ;
2) chacun ajoute ce qu'il veut ;
3) les éléments ajoutés sont, dans le meilleur des cas, en rapport avec une source dont la validité scientifique n'est pas éprouvée.

D'après 1, Wikipédia diffuse aussi des théories fausses (exemple : présentation des sciences occultes sans la moindre critique ; mémoire de l'eau pendant un temps... ; ou même des articles sur des sujets fictifs) ;

D'après 2 :
*son contenu n'est pas systématique, et ne vise à rien de tel : une vision de l'univers est exclue par principe de Wikipedia, et aucune unité n'est visée ; d'après cela :
*Wikipédia est un collage d'éléments disparates, avec des trous un peu partout : elle ne peut donc prétendre instruire, mais cela informer ponctuellement ;
*Wikipédia ne dispose d'aucune possibilité de critique interne : le chaos ne se réforme pas ;
*La conséquence la plus néfaste est que cette subjectivation des "connaissances" entraîne des conflits d'intérêts qui aboutissent à la victoire du plus fort, du plus tenace ou du plus rusé.

D'après 3, Wikipédia met sur le même plan toutes les affirmations tant qu'elles peuvent se rapporter à une source.

Qu'est-ce alors que Wikipédia ? Il est évident, d'après ce qui vient d'être dit, que Wikipédia n'a pas un rapport direct avec la connaissance...

En revanche, ce site diffuse gratuitement des informations diverses et variées, et que chacun peut modifier.

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